Q :
Si on cherche un courant induit dans un circuit, c'est qu'on connait la résistance de ce circuit ainsi que la fém induite en son sein : c'est tout l'objet de la leçon IFL3, partie II et III, d'avoir établi le lien entre i, e et R pour un circuit fixe plongé dans un champ magnétique variable (ou en mouvement dans un champ inhomogène).
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Q :
Il s'agit effectivement du schéma de la page 2. Une spire est un circuit. Tout le cours sur linduction repose sur la notion d'orientation d'un circuit. Si un circuit est orienté selon le vecteur ex, cela signifie que son orientation est telle que la règle de la main droite conduit à définir un vecteur surface dirigé selon n=+ex
Cette orientation du circuit définit l'orientation (algébrique) du courant qui le traverse et qui correspond aussi à l'orientation (algébrique) de la fém induite.
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Q :
Il y a une erreur de signe dans la solution donnée en réponse pour e(t). J'ai, moi aussi, dans mon brouillon, trouvé : e(t)=+ω.Φ0.sin(ωt).
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Q :
Parce que pour connaître le champ magnétique exercé par la spire sur l'aimant il faut appliquer l'expression du champ magnétique créé par un moment magnétique dans l'approximation dipolaire. Ainsi, on peut trouver Bs(O) (champ créé par la bobine plate en O) et en supposant ce champ quasi-uniforme, on peut appliquer l'expression du moment des forces de Laplace exercée sur un moment magnétique (celui de l'aimant) soumis à un champ uniforme extérieur (celui de la bobine en O).
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