Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : L'atelier
  • L'atelier
  • : Blog de la PTSI-A du lycée Gustave Eiffel (Bordeaux) : autour du cours de physique chimie, et bien au-delà...
  • Contact


Archives

11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 22:33

Partager cet article

Repost0
11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 21:56

Oyez Oyez, chers étudiants : un nouveau changement de salle se met en place ; à partir de la semaine prochaine, Mme Boyer effectuera les colles de physique le mardi en salle K09.

Modifiez votre colloscope en conséquence en y reportant la salle qui est désormais la K09, dans le bâtiment du CDI, au rez-de-chaussée, juste en face de sla salle des professeurs.

Partager cet article

Repost0
10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 22:04



Office in a small city (1953)

Office in a Small City (1953) - Edward Hopper (American, 1882–1967)
Oil on canvas |
28 x 40 in. (71.1 x 101.6 cm)
The Metropolitan Museum of Arts, New York
George A. Hearn Fund, 1953 (53.183)

« Edward Hopper and his wife first rented a cottage in Truro, Massachusetts, in the summer of 1930, and they would return there regularly through the 1950s. Hopper began Office in a Small City while he was staying in Truro in the summer of 1953, and he finished it in his New York studio in the fall. Rather than depicting the Cape Cod landscape, however, Office in a Small City is a scene that could have taken place in any American town in the mid-twentieth century. Hopper's explanation of his earlier work Office at Night (1940 ; Walker Art Center, Minneapolis) also applies to this painting: “My aim was to try to give the sense of an isolated and lonely office interior rather high in the air, with the office furniture which has a very definite meaning to me.”
The solitary office worker in this scene is isolated both physically and emotionally. There is no indication of his particular profession, as he sits in his shirtsleeves; he appears, in fact, to be daydreaming rather than working. The postwar culture of American business is evident in the mass-produced office furniture, the impersonal atmosphere of the office itself, and the man’s detachment from his unseen coworkers. Despite the light and air afforded by his corner office, he appears trapped in place. He is framed by the office window, and his head is profiled against another window and the wall of the building beyond, in a manner that suggests his containment within his environment. The solitude of the man, and the contrast between the stark, utilitarian upper story of the building and its decorative false front, visible at the lower right, suggest Hopper’s own ambivalence toward modern urban life.
The Metropolitan acquired this painting very shortly after its completion, and included it in the opening of its new galleries for American art in December 1953. »

[source : metmuseum.org]

Office at Night Edward HopperOffice in a Small City (1953) - Edward Hopper (American, 1882–1967)
Oil on canvas | 56.4 x 63.8 cm (22 3/16 x 25 1/8 in.)
Walker Art Center, Minneapolis
Gift of the T. B. Walker Foundation, Gilbert M. Walker Fund, 1948.21, cn105

Partager cet article

Repost0
8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 09:42

Mise à jour des fichiers en ligne : tous les documents distribués jusqu'à hier sont disponibles sur le blog.


En particuliers le DS1 avec sa correction, les quatre derniers DM tous corrigés, deux QCM d'optique, et les exercices de chimie SM3 ou d'électrocinétique E2...


De plus, je viens de mettre en ligne la mise à jour d'un document supplémentaire, qui n'a pas été distribué : une série de méthodes liées à la leçon E2 d'électrocinétique (les méthodes les plus importantes restent celles qui ont été vues en classe et dans la leçon E2, évidemment (!), mais les méthodes de symétries qui se trouvent sur la fiche sont bonnes à savoir également.

Partager cet article

Repost0
7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 22:34
Le programme de colle de la semaine prochaine (S6/ Lu 10 octobre 2011)  :

 • OPTIQUE :  miroirs, lentilles, associations (doublets, télescopes) : tout exercices
 • ELECTROCINETIQUE :
* E1 : Lois de Kirchoff (cours et applications)
- Lois des noeuds, loi des mailles
- Conventions récepteur/générateur
- Puissance électrique reçue par un dipôle
* E2 : Dipôles (cours, exercices) 
- Conducteur ohmiques :
    * loi d'Ohm
    * associations de résistances
    * diviseur de tension, diviseur de courant
- Bobines :
   * lien entre i et u
   * associations d'inductances
   * énergie magnétique stockée dans une bobine
   * continuité de l'intensité traversant une bobine.
- Condensateur : lien entre u et q, entre i et u
- Modélisations de Thévenin et de Norton, transformation Th/N
- Bilan de puissance reçue par un réseau dipolaire récepteur {fcém, R} / générateur {fém, R}
- Associations de générateur de Norton en // ; de générateur de Th en série
- Equivalent {fém // dipôle qcque} ; {cém en série avec un dipôle quelconque}
- Point de fonctionnement d'un circuit
    
• CHIMIE :  
* SM3 : Structure électronique des molécules (cours et exercice) 
- Représentation de Lewis des molécules et ions (pas de VSEPR)

Exercices au programme de colle vus en classe la semaine dernière : PDF-logo

Partager cet article

Repost0
7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 21:56


 

Tick of the Clock - Chromatics


 

A Real Hero - College 

 

 

Nightcall - Kavinsky 

 

 

Télérama.fr : Les termes du contrat sont simples : il ne participe pas au braquage, il conduit, exclusivement. Pour semer la police, il lui faut cinq minutes, montre en main. L'homme bosse seul, sans arme. Une fois sa mission accomplie, il disparaît... Cette manière de procéder est d'une efficacité redoutable. D'emblée, le cinéaste enrichit la scène de genre qu'est la course-poursuite : aux moteurs vrombissants et aux pneus qui crissent, il ajoute le silence. Dans la forêt urbaine de Los Angeles, on voit le bolide se déporter soudain, stationner tous feux éteints. Avant de bondir de nouveau et de filer dans la nuit, à tombeau ouvert, laissant les braqueurs, passagers à l'arrière, éberlués.
Une ouverture très stylée, promesse de chef-d'oeuvre. Ce que ce sixième film de Nicolas Winding Refn (auteur danois de la trilogie Pusher et du Guerrier silencieux) n'est pas, parce qu'il ne prétend pas l'être. Drive débute comme du Tarantino ou du Michael Mann, avant de la jouer plus modeste et de suivre le sillon de ces films noirs de série B, façon Joseph H. Lewis ou Don Siegel. Le héros y est un solitaire taciturne, chauffeur la nuit, cascadeur à Hollywood le jour. Un homme qui ne dort pas, sans ami, à part un garagiste boiteux qui pourrait être son père, magouilleur à ses heures. C'est la revanche du figurant - dans les polars, le chauffeur est en général un personnage secondaire. Il passe ici au premier plan, tout en gardant son indépendance de lonesome cowboy. L'amour peut-il l'atteindre ? Il surgit en tout cas sous les traits d'Irene (Carey Mulligan), charmante voisine au regard triste, mère d'un bambin et dont le mari est en taule. Entre elle et le cascadeur, cela pourrait coller. Mais il s'éclipse dès que le mari est de retour au foyer ; et vient même porter secours à ce dernier. Pourquoi ce sacrifice ? Que veut-il au juste ? On s'interroge d'autant plus que son flegme et sa gentillesse peuvent cacher une brutalité inouïe. Qui jaillit dans une belle scène d'ascenseur où la tendresse d'un baiser est aussitôt suivie d'un déchaînement de violence.

[Lemonde.fr : Moins que les péripéties d'un récit qui s'amuse avec des situations déjà éprouvées ailleurs, c'est une ambiance particulière que capte la caméra de Nicolas Winding Refn. Une atmosphère menaçante, celle d'un Los Angeles où les lieux sans qualités succèdent aux espaces désincarnés par l'anonymat des nuits éclairées aux néons multicolores. Un monde presque irréel. C'est aussi la bande musicale, privilégiant l'électro-rock, qui donne un rythme bizarre au film, entêtant, mécanique et fatal. Et c'est une chanson romantique (Oh My Love ! écrite en 1974 par Riz Ortolani pour le film Les Négriers) qui scellera, avec un diabolique effet paradoxal, ce que l'on prendra comme une mutation du personnage, devenue machine à tuer. Car ce que semble raconter Drive, c'est la bonne vieille transformation d'un homme qui perd tout visage humain. La séquence au cours de laquelle il enfile un masque en latex avant de tuer un mafieux apparaît ainsi presque trop évidemment métaphorique d'une telle évolution morale du personnage.
La force du film de Nicolas Winding Refn est d'inscrire cette mutation implacable dès ses premiers moments. Le héros de Drive est un professionnel, catégorie très appréciée dans le cinéma d'action hollywoodien. Mais ses compétences sont ici une manière, pour lui, de s'identifier presque trop parfaitement à ses actes.
Au cours d'une brève séquence, il menace un de ses anciens complices, trop bavard, rencontré par hasard dans un bar, de lui défoncer le portrait. Ce qu'il fera plus tard, littéralement, avec un homme de main chargé de le suivre, sa vraie nature apparaissant désormais et rendant impossible la promesse d'histoire d'amour que ses attentions pour sa voisine semblaient contenir. Dire ce que l'on fait (au tout début du film, il énonce au téléphone, à de futurs complices, ses instructions et ses conditions, dont on sent qu'il ne déviera pas) et faire ce que l'on dit deviennent ici la marque de la folie. Ce langage pris "au pied de la lettre", signale la psychopathie d'un héros au visage d'ange.
]

 D'Eastwood (période Dirty Harry) au Steve McQueen de Bullitt, on connaît ce type de justicier peu loquace. Ryan Gosling apporte quelque chose de dif­férent, de moins viril : une silhouette élancée, une réserve, à la fois stoïcisme et timidité. Celle d'un ange exterminateur et d'un chevalier errant, défenseur de la veuve et de l'orphelin. L'ironie veut qu'il porte même un blason, un scorpion jaune sur son blouson argenté. Autant dire que le réalisateur joue avec les archétypes, s'amuse à brouiller les repères. Le graphisme rose du générique, la musique synthétique assez disco, les looks réveillent des souvenirs de vieilles séries de la fin des années 1970 (genre Starsky et Hutch). Entre pastiche et hommage, Refn cherche moins à créer quelque chose de nouveau qu'à dérouler du déjà-vu en réécrivant dessus. A revi­si­ter, au ralenti ou en accéléré, cette ville mythique de Los Angeles, lieu des studios et cité sans fin ni centre, saturée de parkings, anonyme. De là ces visages figés que tendent les personnages.
Le titre est heureux. Ce n'est pas tant ce conducteur un peu irréel qui prime, mais l'action de rouler (drive). Rouler pour fuir, avec cette sensation que le destin se joue dans ce recommen­cement perpétuel. Nicolas Winfing Refn a réussi à fondre voiture et cinéma, en honorant leur fonction première : nous transporter.

Partager cet article

Repost0
30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 23:16
Le programme de colle de la semaine prochaine (S5/ Lu 03 octobre 2011)  :

 • OPTIQUE :  
* O4 : Lentilles sphériques (cours et exercices) 
- Points particuliers : O, F et F'
- Constructions géométriques dans les conditions de Gauss
    * tous les cas, lentilles convergentes et divergentes
    * tracé d'un rayon émergent associé à un rayon incident quelconque
- Démonstration des formules de conjugaison et de grandissement
     * avec origine aux foyers
    * avec origine au centre
* E1 : Lois de Kirchoff (cours et applications)
- Lois des noeuds, loi des mailles
- Conventions récepteur/générateur
- Puissance électrique reçue paer un dipôle
* E2 : Dipôles (cours et applications directes du cours) 
- Conducteur ohmiques :
    * loi d'Ohm
    * associations de résistances
    * diviseur de tension, diviseur de courant
- Bobines :
   * lien entre i et u
   * associations d'inductances
   * énergie magnétique stockée dans une bobine
   * continuité de l'intensité traversant une bobine.
- Condensateur : lien entre u et q, entre i et u
    
• CHIMIE :  
* SM2 : Structure électronique des atomes (cours et exercice) 
- Interaction entre la matièe et la lumière (absorption/émission)
- Spectre de l'atome d'hydrogène :
   * résultats expérimentaux : formule de Ritz-Ridberg
   * Interprétation énergétique : En=-13,6/n² (eV)
- Nombres quantiques : n, l; ml et ms
   * couche énergétique (n)
   * sous-couche énergétique (n,l)
   * orbitale atomique/case quantique (n, l, ml)
   * état quantique d'un électron (n, l, ml, ms)
- Règles d'occupation : règle de Pauli, règle de Klechkowsky, règle de Hund
- Electrons de valence, électrons de coeur
- Quelques exceptions à la règle de Klechkowsky : stabilité des sous-couches (n-1)d5 et (n-1)d10
- Structure électronique des cations/anions monoatomique

Exercices au programme de colle vus en classe la semaine dernière : PDF-logo

Partager cet article

Repost0
26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 21:27

 

Q :

« Dans le TP d'optique, on nous demande de tracer D=p'-p en fonction de p=OA.
  Je ne comprends pas le but de tracer cette courbe... Quel est le résultat que l'on veut nous faire admettre ? »

R :

Lentille convergente.
D=AA'=AO+OA'=p'-p
Pour une image réelle à partir d'un objet réel : D>0
Pour une image réelle à partir d'un objet virtuel : D<0
 

 

Comme :

 

1/p'-1/p=1/f'

 

        on a (à établir !) :

D=D(p)=-p²/(f'+p)


Il s'agit d'une courbe théorique de type hyperbole, qui admet la droite p=-f' comme symptote verticale.
Trouver cette asypmtote, c'est déterminer f'.
Par ailleurs, dans le cas d'un objet réel et d'une image réelle, on constate que la distance D admet une valeur minimale de 80 cm, c'est-à-dire

 

Dmin=4.f'

(résultat utile à garder en mémoire)


D=AA' fonction de OA (2)

 


Partager cet article

Repost0
25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 16:01

 

Q :

« Je suis bloqué à la question 1 du I du DM4 où il faut trouver la distance  S2S1
Je suis parti en posant S2S1= S2C1+C1S1= S2C1 + R1 ,
et j'ai essayé d'exprimer S2C1 en fonction de R2 grâce au formules du grandissement transversale.
Mais j'ai beau tourner les formules dans tous les sens , au final , je n'arrive a rien.
Pouvez-vous me donner une piste de départ (...) ?. »

R :

D'après ce quiest écrit ci-dessus, tu ne disposes que d'une seule relation "physique" (celle du grandissement), indépendamment de l'expression géométrique de S2S1 (qui n'est pas une relation physique mais une relation purement mathématique, qui n'a rien à voir avec l'optique)
Or, pour relier un objet étendu et une image étendue conjugués par un miroir, il faut travailler sur deux relations indépendantes :
(1) celle du grandissement (car les objets et images sont étendus)
(2) celle de la relation de conjugaison (qu'il ne faut jamais oublier, qu'il faudra toujorus utiliser sous une forme ou sous une autre !)
Mais pour bien utiliser la relation de conjugaison il faut auparavant considérer le "schéma" suivant pour le système étudié :


Etoile AB (objet étendu, oui mais où par rapport à M1 ?)
              --- (M1) ---->
                                A1B1 (image pour M1, oui mais où p/r à M1?)
                               = objet A1B1 (pour M2)
                                                              ---- (M2) ---- > image A2B2


Répondre à la première question permettra de répondre à la seconde.
Et alors seulement, parce que le point particulier du système qui coïncide avec A1 sera connu, il sera possible d'utiliser à bon escient les relations (1) et (2).


 

→ Se souvenir de cette méthode :
• bien lire l'énoncé et,
• grâce au "schéma" par lequel il faut toujours commencer lorsqu'on étudie un système optique,
• essayer de caractériser le plus possible les différents objets et images (leurs natures ponctuelle/étendue, leurs positions, ne sont-ils pas confondus avec des points particuliers du système ?)
• avant de se lancer dans l'utilisation des relations utiles.

 


Rq : Penser à la nature algébrique des distances et des rayons dans cet énoncé et donc dans la réponse à ce problème. Ainsi, S2S1 n'est pas une distance (forcément positive) mais une mesure algébrique (certes de même dimension qu'une distance, mais qui, à l'inverse d'une distance, peut être positive ou négative a priori, même si dans la configuration du téescope, on se doute bien qu'elle ne peut être que positive !)
Ainsi surtout, R1 n'est PAS (comme cela a été écrit dans la question ci-dessous) la mesure algébrique C1S1 mais R1 est, par définition du rayon algébrique, la mesure algébrique S1C1...
De même R2 n'est pas C2S2 mais S2C2.
Attention donc à ne pas introduire une erreur de signe ! ;-)

Partager cet article

Repost0
23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 18:18
Le programme de colle de la semaine prochaine (S4/ Lu 26 septembre 2011)  :

 • OPTIQUE :  
* O2 : La formation des images et l'Approximation de Gauss (cours) 
- Notion d'objet et d'image pour un Système optique
- Système optique sphériques centrés (le rayon passant par le centre optque n'est pas dévié)
- Stigmatisme / Aplanétistme / Conditions de Gauss
- Notion de foyer objet/image, plan focal objet/image, foyers secondaires (et leurs images correspondantes)
* O3 : Miroirs sphériques (cours et applications) 
- Rayon algébrique d'un miroir sphérique, distance focale
- Points particuliers : C, S, F=F'
- Constructions géométriques dans les conditions de Gauss
    * tous les cas, miroirs convergents et divergents
    * tracé d'un rayon émergent associé à un rayon incident quelconque
- Démonstration des formules de conjugaison et de grandissement
     * avec origne aux foyers
    * avec origine au sommet
    * avec origine au centre
- Cas du miroir plan
* O4 : Lentilles sphériques (cours seulement) 
- Points particuliers : O, F et F'
- Constructions géométriques dans les conditions de Gauss
    * tous les cas, lentilles convergentes et divergentes
    * tracé d'un rayon émergent associé à un rayon incident quelconque
- Démonstration des formules de conjugaison et de grandissement
     * avec origine aux foyers
    * avec origine au centre
  
• CHIMIE :  
* SM1 : Tableau périodique (cours et exercice) 
- familles-colonne/périodes (alcalins, alcalino-terreux, chalcogènes, halogènes, gaz nobles)
- connaitre les éléments des trois premières périodes
- Energie d'ionisation
- Energie d'attachement électronique / Affinité électronique
- Electronégativité (Mulliken)
* SM2 : Structure électronique des atomes (cours et exercice) 
- Interaction entre la matièe et la lumière (absorption/émission)
- Spectre de l'atome d'hydrogène :
   * résultats expérimentaux : formule de Ritz-Ridberg
   * Interprétation énergétique : En=-13,6/n² (eV)
- Nombres quantiques : n, l; ml et ms
   * couche énergétique (n)
   * sous-couche énergétique (n,l)
   * orbitale atomique/case quantique (n, l, ml)
   * état quantique d'un électron (n, l, ml, ms)
- Règles d'occupation : règle de Pauli, règle de Klechkowsky, règle de Hund
- Electrons de valence, électrons de coeur
- Quelques exceptions à la règle de Klechkowsky : stabilité des sous-couches (n-1)d5 et (n-1)d10
- Structure électronique des cations/anions monoatomique

Exercices au programme de colle vus en classe la semaine dernière : PDF-logo

Partager cet article

Repost0