[64 | 295] Liasse III > GF, p. 145. | « Mien, tien. |
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[64 | 295] Liasse III > GF, p. 145. | « Mien, tien. |
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[65 | 115] Liasse III > GF, p. 80. | « Diversité. |
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[66 | 326] Liasse III > GF, p. 155. | « Injustice. |
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[67 | 879] Liasse III > LdP, p. 87. > F, p. 91. | « Injustice. |
*/ Jésus, après sa résurrection, confie à Pierre la charge d'être le pasteur de son peuple : « Pais mes brebis » (Jean, XXI, 17). Saint Augustin glose : « non les tiennes » (Lettre aux catholiques contre les donatistes, 16)
[68 | 205] Liasse III > GF, p. 113. | « Quand je considère la petite durée de ma vie absorbée dans l’éternité précédente et suivante — memoria hospitis unius diei praetereuntis* — le petit espace que je remplis et même que je vois abîmé dans l’infinie immensité des espaces que j’ignore et qui m’ignorent, je m’effraye et m’étonne de me voir ici plutôt que là, car il n’y a point de raison pourquoi ici plutôt que là, pourquoi à présent plutôt que lors. Qui m’y a mis ? Par l’ordre et la conduite de qui ce lieu et ce temps a (-t-) il été destiné à moi ? » |
*/ = Sagesse, V, 15 : « L'espérance des méchant est (...) comme la fumée que le vent dissipe ou comme le souvenir d'un hôte qui passe et qui n'est qu'un jour en un ême lieu ».
[69 | 174bis] Liasse III > LdP, p. 88. > F, p. 240. | « Misère. |
Cf. GF, 174, p. 98.
[70 | 165bis] Liasse III > LdP, p. 88 > F, p. 91. | « Si notre condition était véritablement heureuse, il ne faudrait pas nous divertir d’y penser. » |
Cf. GF, 165, p. 96
« Pensées. In Omnibus requiem quaesivi*. Si notre condition était véritablement heureuse, il ne faudrait pas nous divertir d’y penser pour nous rendre heureux. »
[71 | 405] Liasse III > GF, p. 178. | « Contradiction. Orgueil, contrepesant toutes les misères. Ou il cache ses misères ; ou, s'il les découvre, il se glorifie de les connaître. » |
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[72 | 66] Liasse III > GF, p. 50. | « Il faut se connaître soi-même. Quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela au moins sert à régler sa vie, et il n’y a rien de plus juste. » |
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[73 | 110] Liasse III > GF, p. 79. | « Le sentiment de la fausseté des plaisirs présents, et l’ignorance de la vanité des plaisirs absents cause l’inconstance. » |
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